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Tête de la Vieille par la double Traversée des Ortals, de Serre Chiret à la crête de la Couécha+tour du Morgonnet, par le col homonyme&la Cabane du Jas puis Chapelle St-Pierre&l'Auche, depuis le Col de Pontis; Pontis&le Lauzet-Ubaye (04). Randonnée Pédestre

Topos > Rando pédestre > Alpes-de-Haute-Provence > Pontis > Tête de la Vieille par la double Traversée des Ortals, de Serre Chiret à la crête de la Couécha+tour du Morgonnet, par le col homonyme&la Cabane du Jas puis Chapelle St-Pierre&l'Auche, depuis le Col de Pontis; Pontis&le Lauzet-Ubaye (04).
La Tête de la Vieille par la double Traversée des Ortals, une exceptionnelle aventure en solo ! certes, j'en ai mis du temps pour arriver à trouver la bonne occasion en profitant du forfait d'Hélène toujours fort occupée aux alentours de la Toussaint pour retourner voir tout cela de près et ainsi mettre un point final à toutes mes précédentes incertitudes.
En effet, il s'agit d'une très longue histoire dont voici la genèse :
dans les années 80, alors que nous étions en villégiature active en chambre et table d'hôtes chez Marguerite et Claude Cugnet à l'Establoun aux Allemands à l'adret de Barcelonnette, ces derniers faisaient l'éloge de nos aptitudes à randonner à une tablée d'octogénaires hauts-alpins venus se régaler des authentiques et succulents produits de la ferme mis en valeur par le chef quand une Savinoise pur jus nous interpelle :
- Connaissez-vous le Sentier des Traverses au Pic de Morgon ?
- non !
- alors allez-y, vous ne le regretterez pas !
Et de nous en faire une impressionnante description avant de conclure :
- c'était mon pèlerinage annuel depuis Savines, j'y suis montée pour la dernière fois pour mes 80 ans, j'en ai 82 ! si vous voulez profiter d'un bien beau point de vue sur cet incroyable itinéraire, montez au Morgonnet !
- félicitations pour votre performance et votre éblouissante santé qui ne peut que nous encourager à suivre votre exemple.
Toujours très friands de ce genre d'information, dès le lendemain, sur la route du retour, nous rendions une rapide visite au Morgonnet et à la Coquille depuis le Col de Pontis et c'est de celui-ci que j'ai remarqué pour la première fois cette extraordinaire diagonale ascendante qui domine les Ortals au milieu de l'impressionnante face Sud-Est des Pic et Cirque de Morgon, d'où l'évidente idée suggérée à la Marmotte :
- cette apparente longue vire à chamois devrait nous permettre de prolonger le Sentier des Traverses en effectuant la traversée de la crête du Pic de Morgon et ainsi de revenir au Col du Morgonnet par un probable fabuleux circuit, reste à savoir si elle n'est pas entrecoupée de profonds ravins cachés infranchissables pour les randonneurs comme nous ?
En retraite à Embrun depuis décembre 2010 et adhérents à son Club Alpin où nous avons, entre-autres, fait la connaissance de notre ami Pascal, Pacou pour les intimes (moniteur de ski aux Orres et ex-accompagnateur en montagne bien connu sur Internet du fait de son excellent blog de randonnées "Pacou-Randos", malheureusement à l'abandon depuis octobre 2020, avec qui nous avons partagé de nombreuses randonnées ces 10 dernières années); c'est sur l'une de ses invitations qu'en sa compagnie et celle de Monique j'ai effectué pour la première fois ce circuit N°23 tel que décrit dans le fascicule des Randonnées Pédestres N°22 d'Edisud intitulé "Autour de Gap" de Marie-Josée et Lucien FRESSART en juin 2013 et je me souviens très bien avoir interrogé Pascal sur mon idée de tenter l'aventure en passant bien plus logiquement par cette fameuse "Diagonale des Ortals".
Mais, probablement parce que nous n'étions pas seuls et ne l'ayant jamais pratiquée, il n'a logiquement pas accepté d'en prendre le risque. Du coup, pour tenter de trouver un début de réponse à mes interrogations, ce ne doit pas être tout à fait un hasard si je suis toujours resté sur le fil de la crête de la Couécha en espérant compléter au mieux mes observations. Le très long retour par cette particulièrement scabreuse sente à chamois, probablement très ancien sentier de chasseurs et autres bûcherons, encore bien marqué sur les croupes boisées, entièrement détruit dans sa traversée des nombreux ravins, au rythme de Monique qui n'en pouvait plus ne m'avait alors pas particulièrement fatigué, d'autant qu'en pareille circonstance, sauf le temps de quelques prises de vues, j'étais resté bien calé derrière elle pour le cas où j'aurais pu être utile, mon piolet ayant déjà bien servi pour tailler quelques marches pour sécuriser le franchissement du premier ravin le plus profond à la verticale de la cote 2129 m, et oui c'est bien celui-ci avant celui de Claret, non nommé sur l'IGN, qui est le plus périlleux à traverser ! Reste qu'ainsi positionné et en état de vigilance sécuritaire avec Pascal devant traçant la voie, je n'avais pas pris toute la mesure de ce particulièrement insolite itinéraire qui, effectué en sens inverse à l'occasion de cette randonnée, m'est apparu encore plus scabreux et sans fin, pas évident à suivre malgré un discret balisage de points fluos rouges ainsi que de petits cairns à profusion.
En visionnant le diaporama de cette belle épopée avec Roger, le doyen du CAF d'Embrun, alors que j'exprimais à nouveau le sentiment que la vire du haut qui court au pied des plus hautes falaises me paraissait à priori plus facile, j'ai suscité la réaction suivante :
- moi aussi j'ai toujours eu envie d'y passer, mais il me semble que si nos anciens se sont toujours faufilés par le sentier que vous avez suivi, c'est peut-être bien parce que ce n'est pas aussi facile qu'il y paraît plus haut !?
Par ailleurs, toujours fortement intrigué par la présence de cette incroyable cabane de berger sur le petit alpage en aval de la Tête de la Vieille et curieux de savoir par quel itinéraire le berger pouvait bien faire passer son troupeau de moutons pour monter à cette insolite estive, je m'en étais ouvert auprès d'un habitant de Champ Contier qui m'avait affirmé que le berger et son troupeau montaient de là-bas par la rive droite du Ravin de la Combe, entre ce dernier et l'Aiguillas, franchissait le collet du Garon et traversaient sous le sommet coté 2378m (non nommé sur l'IGN bien que couramment désigné par "l'Enduchet" visité en septembre 2017 et octobre 2020 ), pour rejoindre la dite estive. C'est en partie en espérant, sans trop y croire, bénéficier de cette draille qu'avec Hélène, Monique et Pascal nous avons tenté l'aventure en octobre 2015 . Alors quelle ne fut pas ma stupéfaction, voire frustration, d'apprendre en lisant le texte d'introduction de Pascal Sombardier qu'en fait ils passaient bel et bien par cette désormais fameuse Diagonale des Ortals ! Qui l'eût cru ?!
Vu la description de l'itinéraire faite et les photos publiées, aussi peu probable que cela puisse l'être, dès l'acquisition de son ouvrage, je me suis malgré tout permis d'interroger Pascal Sombardier afin de m'assurer qu'il n'y avait aucune confusion possible entre les deux itinéraires.
Ce qu'il m'a immédiatement et gentiment confirmé, en m'invitant à ne pas hésiter à y aller : "vous ne le regretterez pas et faites-le moi savoir !"
Mais depuis, fort occupé par notre changement de domicile d'une part et d'autre part contrarié par l'obstiné refus d'Hélène de faire partie de l'aventure, l'eau a continué de couler sous les ponts !
Bien qu'à la lecture sur le Blog du CAF d'Embrun du compte rendu de cette traversée , Hélène m'ait dit qu'elle envisageait d'accepter d'y aller un jour, peut-être; par prudence j'ai préféré ne plus attendre en y allant l'un des derniers jours où c'était encore possible cette année et, effectivement, le seul petit regret que j'en ai ramené est d'être parti la fleur au fusil avec mes chaussures Hoka one sky kaha aux semelles bien trop usées comme chaque fin de saison. Résultat : avec l'épais tapis de feuilles mortes des feuillus et les aiguilles de mélèzes recouvrant le sol du sentier de la traversée historique, j'ai dû redoubler de vigilance et d'efforts consentis pour y assurer ma verticalité.
Pour le coup, au retour, le côté complètement dénudé et bien plus sec de la Diagonale des Ortals m'a bien aidé, d'autant que les ravins qu'elle coupe y sont bien moins profonds et nombreux (et oui ! mesurée sur l'altigraphe de ma trace sur VisuGPX cette diagonale court sur environ 2 km, alors qu'il faut en parcourir 2,4 sur le sentier historique pour accéder au collet au pied du dernier grand escalier de la crête de la Couécha qu'il faut ensuite largement contourner !).
Pour le reste, je ne peux que confirmer les propos dithyrambiques de tous ceux qui m'ont précédé sur ce "fabuleux" itinéraire, tous ceux qui ont la chance de pouvoir passer là tout en regardant un peu plus loin que la pointe de leurs godasses sans oublier de rester en sécurité bien évidemment ! Il n'empêche qu'il faut avoir la foi du charbonnier d'une part et d'autre part une absolue confiance en la source de ses informations et être bien rodé à ce type d'expérience pour s’y engager sereinement. Raison pour laquelle, même si je n'ignore rien de la puissante énergie et du confort que confère l'effet de groupe et comprends très bien que pour des grimpeurs bien entraînés il ne s'agit évidemment pas d'un exploit, je trouve quelque peu exagéré de résumer ainsi cette originale traversée :
"La belle vue sur les lacs se dévoile pendant la Traversée des Ortals et nous débouchons sous la Tête de la Vieille tout étonnés de ne pas avoir trouvé les difficultés annoncées." (Patricia)
Et en levant la tête n'auraient-ils rien vu de notable ? Alors je me permets très humblement de suggérer à notre fort sympathique Patricia (d'après nos ami(e)s communs Rosine, Daniel et Pascal !) de refaire cette traversée en sens inverse, en solo comme moi, puisqu'elle poursuit son propos par ceci à l'endroit du Sentier des Traverses :
"Descente délicate où il faut veiller à ne pas faire tomber de pierres sur les premiers, sentier étroit et quelquefois escarpé...mais personne n'est impressionné puisque les "difficultés" étaient annoncées."
Tiens tiens ! tout simplement parce que c'était en descente ?! alors que, pour l'avoir pratiqué plusieurs fois dans les deux sens (juin 2013, juin et août 2022 entre autres !), j'affirme sans aucun risque de me tromper que ce sentier a toutes les caractéristiques d'un sentier alpin (qui a figuré pendant des années sur toutes les cartes de randonnées de l'IGN de la belle époque !), certes terriblement aérien par secteurs mais aux deux seules exceptions près :
- de l'escalade ou désescalade du petit couloir rocheux sans autre exposition que le risque de se prendre un caillou sur la tête,
- de la très courte traversée gravillonneuse et en dévers qui sépare sa partie dans le bosquet de mélèzes de celle au plus près du pied de la falaise;
il s'agit tout le long d'un vrai sentier où nos deux pieds parfaitement à l'horizontale trouvent une confortable place, ce qui est loin d'être le cas à de très rares exceptions près sur toute la Diagonale des Ortals que je sache !
Reste qu'à aucun moment je n'ai pu relever le moindre indice du passage d'un troupeau de moutons ! sans que cela prouve quoi que ce soit vu qu'avec la grande sécheresse de cette année il est fort probable qu'ils aient dû quitter les lieux très tôt, voire ne pas monter du tout !?
Qu'écrire de plus, sinon que :
- je ne vais pas avoir l'outrecuidance de plagier sur cette fiche les Topos de mes prédécesseurs suffisamment clairs et précis aux trois coquilles près relevées dans le texte de Pascal Sombardier qui sont :
1 - page 148, Diagonale des Ortals : il faut lire "sud-est" dans "...le sentier tourne au sud-ouest vers une cabane de berger invisible."
2 - page 149, 3ème annotation : il faut lire mélèzes dans "...il faut traverser une petite forêt de pins..."
3 - toujours page 149 : "4 - à noter que le sentier rejoint ici se perd vers le sud..." qui peut être vu ici comme une demi-vérité puisqu'il s'agit bel et bien du sentier historique que j'ai suivi et qui rejoint tout aussi bien, mais en bien pire, la crête de la Couécha et qui, même s'il est par secteur difficile à suivre, ne se perd que pour ceux qui n'ont pas eu la curiosité de le suivre jusqu'au bout . S'il n'a certes pas l'évidente esthétique de la Diagonale des Ortals, il n'est pas pour autant dénué d'intérêt puisque certains le vivront comme le sentier le plus infernal jamais parcouru tandis que d'autres, dont je suis, le vivront comme une authentique aventure à l'Indiana Jones vu la sidérante diversité de la végétation avec pléthore d'arbres remarquables, en ayant une pensée des plus émues pour ces géniaux promoteurs qu'étaient nos ancêtres et dont nous ne sommes même pas capables d'entretenir correctement les legs.
- si je n'ai pas pris le temps de passer par la cabane de berger, c'est parce que je la connais bien et je voulais me réserver le plus de temps possible pour la découverte du jour : cette fameuse diagonale. Alors surtout ne la ratez pas ! en espérant que vous apprécierez son incroyable balcon panoramique sur toute la basse Ubaye duquel nous avons vu passer planeurs et autres coucous plus bas que nous !
- j'ai malheureusement eu la féérie du retour quelque peu perturbée par de violentes crampes aux quadriceps et autres adducteurs des deux jambes dès la descente de l'antécime Nord-Ouest de la Tête de la Vieille, probables séquelles de mes multiples tensions afin de préserver ma verticalité sur le sentier du bas, qui m'ont forcé à m'arrêter à quatre reprises pour arriver à conjurer cette calamité à force de massages et d'hyperventilation, à moins que ce soit juste pour me forcer à parcourir au ralenti cet ô combien original itinéraire ?! J'en ai d'ailleurs profité pour informer de la situation la Marmotte qui, à la suite de multiples fantaisies , arrivait tout juste au point de rendez-vous prévu à proximité du Col du Morgonnet et de l'inviter à venir à ma rencontre si elle ne voulait pas trop avoir à m'attendre. Le plus comique de l'histoire étant qu'elle a, comme une grande, commis la même erreur que moi le matin en négligeant le petit cairn sur la draine de débardage partant à gauche bien avant le virage à droite de la piste forestière des Baumettes aux Gourgeasses (la dite draine ayant phagocité le départ du sentier avant de virer à gauche 10m plus loin) d'où, trouvant la petite clairière agréable, elle m'informait qu'elle m'y attendait pour notre pique-nique. Comme le matin, sachant que j'allais forcément retrouver le sentier juste au-dessus j'avais coupé à travers bois et que, de toute évidence, je n'étais pas le seul à le faire, pour que ma trace soit correcte, je ne l'ai rejointe qu'après avoir poursuivi le sentier jusqu'au bout.
- en construisant un peu hâtivement la trace du projet de cette randonnée, j'avais prévu son parcours en sens inverse et de me féliciter de la décision prise à la suite de ma réflexion matinale sur la route du Col de Pontis en disant à la Marmotte : "réflexion faite, je vais effectuer le circuit prévu en sens inverse de mon projet que je t'ai mis sur le SM car, comme nous sommes dimanche et qu'il est probable qu'il y ait des randonneurs sur la Diagonale des Ortals mise au goût du jour par Pascal Sombardier d'une part et d'autre part étant proche de la période du rut des chamois qui doivent commencer à s'agiter sérieusement, il me semble donc plus logique de passer le plus tôt possible sur la sente du bas : on n'est jamais trop prudent en pareilles circonstances ! j'ai beau avoir pris le casque, il ne doit pas être considéré comme une assurance tous risques !" étant alors loin de penser que je ne la rejoindrai qu'à 14h05, en restant à l'heure d'été, soit 15h05 à l'heure officielle du jour et encore loin du Col du Morgonnet !
- au retour, nous avons profité de la désolante agression de tout ce secteur par une récente exploitation forestière en empruntant la draine de débardage incriminée plus haut en guise de raccourci pour rejoindre, moyennant deux rudes raidillons, le Col du Morgonnet et ainsi offrir une petite boucle de plus à l'itinéraire de la Marmotte qui a fini, elle aussi, par arriver à saturation d'où notre sauvage improvisation pour rallier le plus facilement en restant le plus à niveau possible la Chapelle St-Pierre, désormais entièrement rénovée , tout en se privant de notre nième traversée de la Coquille, vivement conseillée à ceux qui n'en sont pas encore blasés. Il n'empêche que je suis malgré tout très heureux d'avoir enfin pu réaliser cette superbe bambée.
En résumé pour conclure :
Que ce soit en complément du Sentier des Traverses ou réciproquement, la Diagonale des Ortals est de loin la plus esthétique et facile solution pour un accès en boucle au Pic de Morgon depuis le Col du Morgonnet.
Le sentier historique de la Traversée des Ortals n'est pas à négliger pour autant de par son incontestable côté aventure engagée, au moins pour des randonneurs, doublé d'un intérêt certain pour les passionnés de botanique, autant d'un point de vue floral en juin-juillet que sylvestre au printemps comme à l'automne (en complément un petit aperçu de ce que l'on trouve en aval de Serre Chiret !).
lien sur notre dossier-archive des vues illustratives de cette randonnée.
Récapitulatif des Articles trouvés sur Internet :
1 - Tête de la Vieille, depuis Champ Contier / Pacou Randos
2 - Présentation du livre "Alpes Randonnées insolites & spectaculaires" par l'auteur Pascal Sombardier
3 - Rénovation de la Chapelle St-Pierre
- Pic de Morgon par les Traverses et la Diagonale des Ortals :
4 - par Mick1018, le 21 mai 2017 / Altitude Rando
5 - par osukarusan, juillet 2019 / Wikiloc
6 - par Dyn's, le 14 octobre 2019 / Altitude Rando
7 - par Patricia, le 10 juin 2022 / Blog du CAF Embrun

Description

Nota Béné :
Pour information ci-dessous, copie du retour de Pascal Sombardier au courriel de l'Ours :
<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
Pascal Sombardier / 14 nov. 2022 18:57 / À moi

Bonsoir


> Malgré le temps, peut-être vous souvenez-vous encore de notre dialogue par courriel au sujet de mes interrogations sur la différence entre la Diagonale des Ortals
> du chapitre consacré, sur votre bel ouvrage, à la traversée du Pic de Morgon en circuit par les Traverses et cette fameuse Diagonale, et le sentier que j'ai qualifié d'historique
> du fait de l'antériorité de la publication de ce dernier dans "Autour de Gap" de Marie-Josée et Lucien Fressard.


Bernard Mazas m’avait parlé de cet itinéraire des Fressard, mais il pensait qu’il s’agissait du même (il faut dire qu’il n’est allé sur aucun des deux). Dans le doute, je m’étais abstenu de citer quoi que ce soit.

> En réponse, après avoir évidemment confirmé la différence, vous m'aviez invité à y aller, que je ne le regretterais pas et de vous tenir au courant !
> Certes, il m'en a fallu du temps ! mais voilà chose faite et selon votre souhait je vous transmets le lien (https://www.visugpx.com/yT40vtvrWT)
> sur la fiche de VisuGPX dans laquelle je me suis efforcé de noter tous les éléments informationnels en ma possession,
> peut-être qu'en dehors du côté anecdotique de mes propos y trouverez-vous également quelques informations intéressantes ?


Oui, merci. C’est très complet. Si je post un jour mon topo sur mon blog, je ne manquerai pas de mettre le lien vers votre publication (et de corriger mes erreurs).
Attention, vous avez une faute de frappe à la fin : diagaonale


> Je vous en souhaite bonne lecture et autres visualisations.
>


Cordialement
PS

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Liste des albums de nos randonnées précédentes dans ce secteur :

Albm056-Tour du Cirque du Morgon, juin 2012 : Diaporama

Albm133-Les Traverses du Morgon, juin 2013 : Diaporama

Albm182-Cirque de Morgon, janvier 2014 : Diaporama

Albm218-Pic de Charance, août 2014 : Diaporama

Albm292-l'éboulement du Pic de Charance, septembre 2015 : Diaporama

Albm254-Pic Martin Jean, février 2015 : Diaporama

Album-019_Pic Martin Jean, mars 2016 : Diaporama

Album-073_Serre Chiret, décembre 2016 : Diaporama

Album-140_l'Enduchet par Champ Contier, septembre 2017 : Diaporama

Album-174_Pic Martin Jean (janvier 2018) : Diaporama

Album-228_le Pic de Morgon dans tous ses états, septembre 2018 : Diaporama

Album-381_ Incursion hivernale dans le Cirque de Morgon, février 2020 : Diaporama et / VisuGPX

Album-386_ Première hivernale au Pic de Morgon pour l'Ours, mars 2020 : Diaporama et / VisuGPX

Album-424_Traversée Enduchet-Pic de Charance, octobre 2020 : Diaporama et / VisuGPX

Mais aussi sur :

056-Pic de Charance, 2316m, par Torrent du Colombier, mai 2022 : VisuGPX

058-Pic Martin Jean, 2100m, par Torrent du Colombier, mai 2022 : VisuGPX

065-Pic de Morgon, par le tout nouveau sentier officiellement recommandé, juin 2022 : VisuGPX

088-Pic de Morgon par les Sentiers des Traverses et de l'Echelle, août 2022 : VisuGPX




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3438ET - Embrun / Les Orres / Lac de Serre-Poncon
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