« J’aime flâner sur les grands boulevards, y’a tant de choses, tant de choses à voir … », Yves Montand en fond sonore pour cette balade dans l’agglomération sur le thème des grands boulevards toulousains et les grandes artères … Circuit à faire de préférence le dimanche pour y trouver un certain plaisir d’avoir la ville pour soi …
Dans l’histoire de l’urbanisation de la ville rose, les boulevards sont organisés en deux cercles concentriques et reliés, Garonne oblige (n’oublions pas non plus le Canal du Midi bien encadré par les grandes voies urbaines), par des ponts.
Montand chantait Paris, je suis passé à la barrière de Paris pour sortir de la ville, y suis rentré par Croix-Daurade et la route d’Albi (qui comme la majorité des routes de Toulouse indique la direction nommée), ai roulé sur un grand nombre des grandes artères toulousaines et périphériques (le périphérique, lui, est interdit aux deux-roues et engins non immatriculés), dans le désordre : Boulevard Silvio Trentin, Boulevard des Recollets, Boulevard d’Arcole, Boulevard Lascrosses, Avenue de Lyon, Avenue Camille Pujol, Allées Charles de Fitte, Avenue de Lardenne, Avenue de Grande-Bretagne qui le restera malgré le Brexit, Allées Forain François Verdier, Grande Rue Saint-Michel, Boulevard des Minimes, Rue de Metz, Allées Jules Guesde, Boulevard de la Marquette, Rue Henri Desbals, Boulevard Lazare Carnot, Boulevard des Suisses, Avenue de l’URSS (qui l’est restée malgré la chute du mur de Berlin), Avenue des États-Unis (à l’opposé de la ville par rapport à celle de l’URSS), Chemin des Capelles qui n’a rien d’un chemin, Boulevard de l’Embouchure, Avenue Jacques Chirac qui l’est devenue et était avant la continuité du Boulevard des Crêtes, Avenue de Castres (où vous pourrez aller si vous continuez dans cette direction), Boulevard de Strasbourg, Avenue Jules Julien, Route d’Albi, Boulevard Riquet, Boulevard de la Méditerranée, et. Pas que des boulevards (et j’en ai oublié certains comme le Boulevard André Netwiller qui n’a rien d’un boulevard ; André Netwiller ayant été pendant 22 ans Adjoint à la Mairie de Toulouse et était un rapatrié d’Algérie, ce n’est pas pour cela que je n’y suis pas passé …) donc mais tout un voyage en fait, dans le temps et l’espace … L’hiver est là, on roule moins loin et moins longtemps … Même très bien équipé et donc au chaud, on consomme de la calorie pour maintenir cette chaleur … Et même si le soleil est au rendez-vous comme aujourd’hui, la température retombe vite dans l’après-midi.
Sur le « beau » goudron et pour un même rendement, on gagne des km/h !
Je ne sais pas comment ça fonctionne ailleurs mais sur Toulouse les feux sont synchronisés sur les grandes axes : quand tu prends le premier feu rouge, tous les autres sont rouges …
Dédicace spéciale à Jean-Marc. Jean-Marc n’est pas cycliste, plutôt motard, c’est « Monsieur Informatique » mais c’est aussi un ami. Jean-Marc est parti hier, nous pensons à toi …
www.leyclerit.com
Thierry
Dans l’histoire de l’urbanisation de la ville rose, les boulevards sont organisés en deux cercles concentriques et reliés, Garonne oblige (n’oublions pas non plus le Canal du Midi bien encadré par les grandes voies urbaines), par des ponts.
Montand chantait Paris, je suis passé à la barrière de Paris pour sortir de la ville, y suis rentré par Croix-Daurade et la route d’Albi (qui comme la majorité des routes de Toulouse indique la direction nommée), ai roulé sur un grand nombre des grandes artères toulousaines et périphériques (le périphérique, lui, est interdit aux deux-roues et engins non immatriculés), dans le désordre : Boulevard Silvio Trentin, Boulevard des Recollets, Boulevard d’Arcole, Boulevard Lascrosses, Avenue de Lyon, Avenue Camille Pujol, Allées Charles de Fitte, Avenue de Lardenne, Avenue de Grande-Bretagne qui le restera malgré le Brexit, Allées Forain François Verdier, Grande Rue Saint-Michel, Boulevard des Minimes, Rue de Metz, Allées Jules Guesde, Boulevard de la Marquette, Rue Henri Desbals, Boulevard Lazare Carnot, Boulevard des Suisses, Avenue de l’URSS (qui l’est restée malgré la chute du mur de Berlin), Avenue des États-Unis (à l’opposé de la ville par rapport à celle de l’URSS), Chemin des Capelles qui n’a rien d’un chemin, Boulevard de l’Embouchure, Avenue Jacques Chirac qui l’est devenue et était avant la continuité du Boulevard des Crêtes, Avenue de Castres (où vous pourrez aller si vous continuez dans cette direction), Boulevard de Strasbourg, Avenue Jules Julien, Route d’Albi, Boulevard Riquet, Boulevard de la Méditerranée, et. Pas que des boulevards (et j’en ai oublié certains comme le Boulevard André Netwiller qui n’a rien d’un boulevard ; André Netwiller ayant été pendant 22 ans Adjoint à la Mairie de Toulouse et était un rapatrié d’Algérie, ce n’est pas pour cela que je n’y suis pas passé …) donc mais tout un voyage en fait, dans le temps et l’espace … L’hiver est là, on roule moins loin et moins longtemps … Même très bien équipé et donc au chaud, on consomme de la calorie pour maintenir cette chaleur … Et même si le soleil est au rendez-vous comme aujourd’hui, la température retombe vite dans l’après-midi.
Sur le « beau » goudron et pour un même rendement, on gagne des km/h !
Je ne sais pas comment ça fonctionne ailleurs mais sur Toulouse les feux sont synchronisés sur les grandes axes : quand tu prends le premier feu rouge, tous les autres sont rouges …
Dédicace spéciale à Jean-Marc. Jean-Marc n’est pas cycliste, plutôt motard, c’est « Monsieur Informatique » mais c’est aussi un ami. Jean-Marc est parti hier, nous pensons à toi …
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Thierry